Le massif du Montgrí
La montagne

Un lieu naturel unique
Un massif calcaire avec un intérieur fortifié
Le massif est une île calcaire située entre les plaines de l’Alt et du Baix Empordà et connue localement sous le nom de « el bisbe mort o estirat » (l’évêque mort ou étiré) en raison de sa silhouette. L’eau de pluie, en s’infiltrant dans la roche, a créé, au cours de milliers d’années, des aquifères souterrains et de courts torrents (secs pendant la majeure partie de l’année). L’érosion a formé des grottes (sous-marines et terrestres), des dolines, des criques et des ports naturels.
Rapaces, orchidées et une singulière dune continentale
Les prairies sèches, la grande variété d’orchidées, le grand-duc, le pygargue à queue courte, le corbeau maritime plumé et les chauves-souris sont quelques-uns des trésors vivants du massif. Sans oublier la chèvre sauvage, qui a reconquis ce territoire ces dernières années. La garrigue et la forêt de pins blancs occupent une grande surface, et il existe une dune continentale avec des mousses et des pins, très rare dans le contexte méditerranéen, formée par l’action des vents de la tramontane.
Le château, les établissements historiques et les murs en pierre sèche
Avec sa silhouette inimitable, le château de Montgrí (XIIIe siècle) est imposant. Cependant, en raison de son emplacement stratégique, le massif a été habité il y a de nombreuses années, comme le montrent les grottes préhistoriques (telles que la Cau del Duc, une à Torroella, datant de 300 000 ans, et une autre plus petite à Ullà) et les établissements ibériques et romains. En 1392, trois frères bénédictins ont fondé l’ermitage de Santa Caterina, où un aplec est organisé chaque année (web).
Le massif abrite également un riche patrimoine d’architecture en pierre sèche, avec des éléments tels que les aixarts (murs étanches), les refuges, les chaumières, les fours à chaux, les sources, les puits, les citernes, les pierres à eau, les corrals, les basses-cours et les cabanes de vigne.
Le massif est une île calcaire située entre les plaines de l’Alt et du Baix Empordà et connue localement sous le nom de « el bisbe mort o estirat » (l’évêque mort ou étiré) en raison de sa silhouette. L’eau de pluie, en s’infiltrant dans la roche, a créé, au cours de milliers d’années, des aquifères souterrains et de courts torrents (secs pendant la majeure partie de l’année). L’érosion a formé des grottes (sous-marines et terrestres), des dolines, des criques et des ports naturels.
Rapaces, orchidées et une singulière dune continentale
Les prairies sèches, la grande variété d’orchidées, le grand-duc, le pygargue à queue courte, le corbeau maritime plumé et les chauves-souris sont quelques-uns des trésors vivants du massif. Sans oublier la chèvre sauvage, qui a reconquis ce territoire ces dernières années. La garrigue et la forêt de pins blancs occupent une grande surface, et il existe une dune continentale avec des mousses et des pins, très rare dans le contexte méditerranéen, formée par l’action des vents de la tramontane.
Le château, les établissements historiques et les murs en pierre sèche
Avec sa silhouette inimitable, le château de Montgrí (XIIIe siècle) est imposant. Cependant, en raison de son emplacement stratégique, le massif a été habité il y a de nombreuses années, comme le montrent les grottes préhistoriques (telles que la Cau del Duc, une à Torroella, datant de 300 000 ans, et une autre plus petite à Ullà) et les établissements ibériques et romains. En 1392, trois frères bénédictins ont fondé l’ermitage de Santa Caterina, où un aplec est organisé chaque année (web).
Le massif abrite également un riche patrimoine d’architecture en pierre sèche, avec des éléments tels que les aixarts (murs étanches), les refuges, les chaumières, les fours à chaux, les sources, les puits, les citernes, les pierres à eau, les corrals, les basses-cours et les cabanes de vigne.