Plongée responsable
Bonnes pratiques
Le parc naturel a élaboré et diffusé des codes de bonnes pratiques pour trois activités touristiques et économiques : la plongée, la navigation et la pêche récréative. Ces codes sont des recommandations et ne remplacent en aucun cas la réglementation que chacune des activités doit respecter.
Dans le cas de la plongée responsable, une charte du plongeur responsable a été élaborée avec 10 recommandations pour éviter des dommages irréversibles aux espèces et écosystèmes marins. De même, le parc naturel encourage les centres de plongée à effectuer les « écobriefings » avant de commencer tout type d’immersion. Il s’agit d’une explication préliminaire que le moniteur donne aux plongeurs pour les informer qu’ils se trouvent dans un parc naturel (et ce que cela implique), pour passer en revue les caractéristiques et la fragilité de la zone où la plongée aura lieu, pour revoir les règles de sécurité et pour diffuser les règles de respect de l’environnement (comme ne pas nourrir la faune marine, ne pas la toucher et nager à 1,5 mètres du sol et des parois).
D’autre part, de nombreux centres d’immersion ont obtenu des certifications environnementales par lesquelles ils s’engagent à appliquer les bonnes pratiques liées à la plongée responsable. Parmi ces certifications, citons la CETS mentionnée ou l’ISO 14001 (pour la qualité environnementale), et d’autres plus spécifiques au domaine de la plongée, comme la Mission Deep Blue (SSI) ou la Longitude 181 (basée sur la Charte internationale pour une plongée responsable).
Dans le cas de la navigation responsable, un Décalogue du bon marin a été élaboré avec des recommandations pour les bateaux à voile et à moteur, et avec des références à des réglementations telles que la Convention MARPOL (qui réglemente le rejet des eaux usées) ou la réglementation RIPA sur la prévention des collisions.
Enfin, le parc naturel du Montgrí, des îles Medes du Baix Ter, en collaboration avec le parc naturel du Cap de Creus et l’Université de Gérone, a élaboré un code de bonnes pratiques pour une pêche récréative durable. Ces recommandations visent à réduire les effets négatifs de la pêche récréative, qui sont encore peu connus. Les impacts liés à la capture d’espèces vulnérables, à l’utilisation d’espèces exotiques comme les appâts ou à la perte ou l’abandon d’engins de pêche.
Dans le cas de la plongée responsable, une charte du plongeur responsable a été élaborée avec 10 recommandations pour éviter des dommages irréversibles aux espèces et écosystèmes marins. De même, le parc naturel encourage les centres de plongée à effectuer les « écobriefings » avant de commencer tout type d’immersion. Il s’agit d’une explication préliminaire que le moniteur donne aux plongeurs pour les informer qu’ils se trouvent dans un parc naturel (et ce que cela implique), pour passer en revue les caractéristiques et la fragilité de la zone où la plongée aura lieu, pour revoir les règles de sécurité et pour diffuser les règles de respect de l’environnement (comme ne pas nourrir la faune marine, ne pas la toucher et nager à 1,5 mètres du sol et des parois).
D’autre part, de nombreux centres d’immersion ont obtenu des certifications environnementales par lesquelles ils s’engagent à appliquer les bonnes pratiques liées à la plongée responsable. Parmi ces certifications, citons la CETS mentionnée ou l’ISO 14001 (pour la qualité environnementale), et d’autres plus spécifiques au domaine de la plongée, comme la Mission Deep Blue (SSI) ou la Longitude 181 (basée sur la Charte internationale pour une plongée responsable).
Dans le cas de la navigation responsable, un Décalogue du bon marin a été élaboré avec des recommandations pour les bateaux à voile et à moteur, et avec des références à des réglementations telles que la Convention MARPOL (qui réglemente le rejet des eaux usées) ou la réglementation RIPA sur la prévention des collisions.
Enfin, le parc naturel du Montgrí, des îles Medes du Baix Ter, en collaboration avec le parc naturel du Cap de Creus et l’Université de Gérone, a élaboré un code de bonnes pratiques pour une pêche récréative durable. Ces recommandations visent à réduire les effets négatifs de la pêche récréative, qui sont encore peu connus. Les impacts liés à la capture d’espèces vulnérables, à l’utilisation d’espèces exotiques comme les appâts ou à la perte ou l’abandon d’engins de pêche.